DU BOUT DES LÈVRES...
« Il ne suffit pas d’avoir du talent, il faut encore se le faire pardonner. » et comme ils sont deux :
« Un livre n’est jamais un chef-d’œuvre, il le devient. »
Edmond et Jules de GONCOURT
Moi je dirais qu’il est beaucoup plus difficile de se faire pardonner son talent que d’écrire un livre.
C’est le miracle qu’a accompli Frédéric Begbeider avec son ROMAN FRANÇAIS. Il aurait tout aussi bien pu se faire écharper. Mystère…
A bientôt, chers amis de la plume … et du show-business !
Miss Comédie
* Vous n’avez pas réagi à la petite erreur que je vous signalais lundi, c’est que vous n’êtes pas de vrais cinéphiles. Je vais donc vous la révéler.
La musique d’Ennio Morricone que vous avez pu écouter en lisant le blog était celle de « POUR UNE POIGNEE DE DOLLARS » et non celle de « POUR QUELQUES DOLLARS DE PLUS » dont je vous donnai le compte-rendu.