JEU D'ARTIFICE
Bon maintenant tout le monde sait que je n’y vois plus rien alors pourquoi m’acharner à reprendre le cours de mon blog ? C’est juste que je ne sais plus quoi faire de toutes ces idées qui s’entrechoquent dans ma tête et qui ne mènent à rien ....
Mais j’ai de la chance voilà que l’IA vient à mon secours au moment où j’allais abandonner.
J’ai tenté un coup d’essais et je vous laisse juge du résultat.
Lisez ce texte rédigé par l’IA (Intelligence Artificielle) à partir du thème suivant :
"Un homme chante une chanson de Joe Dassin à sa fiancée et celle-ci porte plainte" :
C'était un soir d'automne, dans un petit café de la rue Mouffetard. Paul, un jeune musicien, avait décidé de faire une surprise à sa petite amie, Julie, qui travaillait comme serveuse dans cet établissement. Il avait apporté sa guitare et s'était installé à une table près de la scène, attendant le moment propice pour monter sur les planches et lui déclarer sa flamme en chanson. Il avait choisi L'été indien, la chanson préférée de Julie, qu'elle lui avait fait découvrir lors de leur premier voyage ensemble, sur une plage de Normandie. Il se souvenait de leurs baisers sous le soleil couchant, de leurs promenades main dans la main, de leurs rires et de leurs confidences. Il voulait lui rappeler ces moments magiques et lui dire qu'il l'aimait plus que tout. Quand il vit Julie sortir de la cuisine avec un plateau chargé de verres, il se leva et se dirigea vers la scène, sous les applaudissements des clients habitués, qui connaissaient son talent et son projet. Il prit le micro, sourit à Julie, qui le regardait avec étonnement et curiosité, et commença à jouer les premiers accords de la chanson. Mais à peine avait-il entonné les premières paroles, qu'une voix furieuse se fit entendre dans la salle : - Arrêtez ! Arrêtez tout de suite ! C'est une honte ! C'est du plagiat ! Tous les regards se tournèrent vers la source du vacarme. C'était une femme d'une quarantaine d'années, vêtue d'un tailleur strict et d'un chapeau à voilette. Elle tenait à la main un sac à main en cuir, qu'elle agitait avec véhémence. - Qui êtes-vous ? Que voulez-vous ? demanda Paul, interloqué. - Je suis Maître Dupont, l'avocate de la succession de Joe Dassin, le créateur de cette chanson, répondit la femme. Et je suis venue vous signifier que vous n'avez pas le droit de chanter cette œuvre sans avoir obtenu l'autorisation préalable des ayants droit. Vous violez la propriété intellectuelle et vous portez atteinte à la mémoire de l'artiste.
Je vais porter plainte contre vous et contre ce café, qui se rend complice de votre forfaiture ! - Mais c'est absurde ! s'exclama Paul. C'est une chanson populaire, qui appartient à tout le monde ! C'est un hommage, pas un vol ! - Ne jouez pas les innocents ! rétorqua la femme. Vous savez très bien que cette chanson est protégée par le droit d'auteur, et que vous devez payer des royalties pour l'utiliser. Vous profitez de la notoriété de Joe Dassin pour vous faire de la publicité et séduire cette jeune fille, qui n'est sûrement pas dupe de vos manœuvres ! - Mais de quoi vous parlez ? intervint Julie, qui avait posé son plateau et s'était approchée de la scène. Paul est mon petit ami, il m'a chanté cette chanson pour me faire plaisir, pas pour me manipuler ! C'est vous qui êtes folle, de venir nous agresser comme ça ! - Taisez-vous, mademoiselle ! lança la femme. Vous n'êtes qu'une complice, une profiteuse, une sans-cœur ! Vous n'avez aucun respect pour le génie de Joe Dassin, qui a écrit cette chanson avec son âme, avec son sang, avec ses larmes ! - Mais c'est n'importe quoi ! s'indigna Julie. Joe Dassin n'a même pas écrit cette chanson, il l'a adaptée d'une chanson italienne, qui s'appelle Africa ! C'est Toto Cutugno qui en est l'auteur ! - Comment osez-vous ? hurla la femme. Vous blasphémez, vous mentez, vous salissez la mémoire de Joe Dassin ! C'est lui qui a fait de cette chanson un chef-d'œuvre, c'est lui qui l'a rendue célèbre, c'est lui qui l'a immortalisée ! Vous n'êtes qu'une ignorante, une inculte, une ingrate ! - Mais c'est vous qui êtes ignorante, inculte et ingrate ! répliqua Julie. Vous ne connaissez rien à la musique, à l'art, à l'amour ! Vous n'êtes qu'une avocate véreuse, qui cherche à se faire de l'argent sur le dos des artistes ! Vous n'avez pas de cœur, pas de sensibilité, pas de goût ! La dispute entre les deux femmes devint de plus en plus violente, tandis que Paul, abasourdi, restait figé sur la scène, tenant sa guitare comme un bouclier. Les clients du café, d'abord amusés, puis agacés, puis inquiets, assistaient à la scène, sans oser intervenir. Le patron du café, qui avait été alerté par le bruit, arriva en courant, et tenta de calmer les esprits. - Mesdames, mesdames, s'il vous plaît, du calme ! dit-il. Il n'y a pas de quoi se battre pour une chanson ! C'est un malentendu, une erreur, une plaisanterie ! - Ce n'est pas une plaisanterie, c'est une affaire sérieuse ! rétorqua la femme. Je vais porter plainte, je vous le dis ! Et je vais gagner ! Je vais vous faire payer cher, très cher, votre insolence ! - Mais enfin, madame, soyez raisonnable ! supplia le patron. Vous n'allez pas ruiner un jeune homme et un café pour une chanson ! C'est de la folie ! C'est de la cruauté ! - C'est de la justice ! clama la femme. Et je ne reculerai pas ! Je vais appeler la police, et vous verrez ! Elle sortit son téléphone portable de son sac, et composa un numéro. Le patron, désespéré, se tourna vers Paul et Julie, qui se tenaient par la main, et leur dit : - Je suis désolé, mes enfants, je ne sais pas ce qui lui prend. C'est une folle, une furie, une hystérique ! Ne vous inquiétez pas, je vais tout arranger. Je vais parler à mon avocat, à mon assureur, à mon ami le député. Je vais vous sortir de ce pétrin. Ne perdez pas espoir. Tout va s'arranger. Mais Paul et Julie n'écoutaient pas. Ils se regardaient dans les yeux, et se souriaient. Ils se sentaient plus proches que jamais, plus amoureux que jamais, plus heureux que jamais. Ils se fichaient de la plainte, de la police, du procès. Ils n'avaient besoin de rien d'autre que de leur amour. Ils se penchèrent l'un vers l'autre, et s'embrassèrent passionnément, sous les applaudissements des clients, qui avaient oublié la femme, la chanson, et le reste. Ils vivaient leur été indien, et rien ne pouvait les arrêter. Fin
Incroyable non ? Mis à part qu’il s’est trompé de plaignante, je suis bluffée .
Mais d’où vient ce texte ? Surement pas de mon cerveau car je serais au courant. D’un esprit errant dans le vide spatial à la recherche du temps perdu ?
C’est de la magie il faudra s’y faire.
Et pourquoi pas jouer avec ? Dans mon prochain article je vous demanderai de choisir entre mon texte à moi et celui de L’IA. À votre avis, lequel est le meilleur ?
Le débat qui s’ouvre aujourd’hui a de quoi inquiéter les écrivains…
Miss Comédie