JUKE BOX BY NIGHT
Je viens d’écouter un morceau d’anthologie : le grand Ruggiero RAIMONDI chantant en Français Que reste-t-il de nos amorus, de Charles TRENET. Pur ravissement. Tout à coup on se met à écouter les paroles ! Un poème nostalgique sur le temps qui passe. Pour RAIMONDI, un contre-emploi qui renverse.
Une idole dont la voix s’est éteinte une nuit, une autre dont la voix rauque évoque des nuits blanches...
Et ma pièce qui se rapproche de sa première répétition...