MON IMPRO DU JOUR : PAS QUE PÂQUS !

Il y a eu aussi la FERIA D’ARLES, moi je suis pas fan mais je connais des gens pour qui ça vaut Compostelle. Il faut dire que la ville est si belle et les arènes si romanesques. C’est à ARLES que j’ai emmené un jour mon fiancé voir une corrida. Il n’en avait jamais vu et son horreur a été immédiate. Il était sincèrement choqué et au moment de la mise à mort, qui a foiré trois fois, il a dit doucement « j’ai honte d’être un être humain ».
Depuis je pense comme lui et je n’y vais plus.

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Il n’y a pas qu’à Pâques qu’on se tape la cloche : c’est toute l’année dans ce restaurant sensass installé où, je vous le donne en mille : dans les caves de la coopérative de BEAUMES-DE-VENISE, vous voyez l’idée ?
On arrive par une pluie battante sur un immense terre-plein dominé par l’imposante bâtisse néo-classique, on se gare et quand on s’approche on découvre une terrasse en teck avec des tables et des chaises ruisselantes mais on imagine bien ce que ça doit être par une belle matinée de juin ! On entre, accueil tout sourire, petites jeunes filles accortes comme on dit, beau décor zen (sans lumières évidemment) et on s’asseoit.
Et là, la vraie surprise est dans l’assiette, un concentré de paradis que je n’essaie même pas de vous d

Le jeune chef, petit faune de génie dans ce pays de vignobles bénis des dieux, surveille attentivement les dineurs durant tout le service par l’ouverture entre la salle et les cuisines. Il veut savoir si l’on est content. Les jeunes serveuses sont chargées de lui rapporter les hommages et seulement les hommages, parce que des critiques je n’en vois pas, (à part l’éclairage, bien sûr).
Ca s’appelle, je vous le redonne en mille : LE DOLIUM.
Et l’adresse : place BALMA VENITIA, BEAUMES-DE-VENISE au temps des Romains.
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