MOI JE DIS BRAVO.....
… à tous ceux qui ont utilisé la musique pour rendre les gens heureux.
Je précise : heureux, et non pas nostalgiques, rêveurs, tristes ou mélancoliques. Car la musique peut rendre tout cela aussi, tout en restant un moyen d’extase.
Je dis bravo à ceux qui diffusent la joie de vivre.
Il y a Bach, le premier, l’unique. Il y a Bing Crosby et son « Singing in the rain » qui soudain vous donne des ailes.
Il y a Louis Armstrong et « What a wonderful world »… on sourit aux anges quand il chante ça, on est d’accord avec lui, mais ça ne dure pas, bien sûr.
Il y a Luis Mariano et son Fandango, son Mexico, sa Belle de Cadix.
Il y a Charles TRENET, évidemment, quel slogan publicitaire a jamais égalé son « Boum ! » ou son « Y a d’la joie » ?
Bien sûr on aime aussi « Ne me quitte pas », « Il n’y a pas d’amour heureux » ou « My solitude » ou les Requiem, ou les Elégies de Fauré ou « La jeune fille et la mort », bien sûr tout ça est sublime.
Mais ça rend triste, si triste, ça nous rappelle nos petites misères et c’est pas bon.
Les musiques du bonheur nous font dire « quand même, je suis mieux dans ma peau que dans celle d’un animal transi, fuyant les prédateurs ou mené à l’abattoir. »
Je précise : heureux, et non pas nostalgiques, rêveurs, tristes ou mélancoliques. Car la musique peut rendre tout cela aussi, tout en restant un moyen d’extase.
Je dis bravo à ceux qui diffusent la joie de vivre.
Il y a Bach, le premier, l’unique. Il y a Bing Crosby et son « Singing in the rain » qui soudain vous donne des ailes.
Il y a Louis Armstrong et « What a wonderful world »… on sourit aux anges quand il chante ça, on est d’accord avec lui, mais ça ne dure pas, bien sûr.
Il y a Luis Mariano et son Fandango, son Mexico, sa Belle de Cadix.
Il y a Charles TRENET, évidemment, quel slogan publicitaire a jamais égalé son « Boum ! » ou son « Y a d’la joie » ?
Bien sûr on aime aussi « Ne me quitte pas », « Il n’y a pas d’amour heureux » ou « My solitude » ou les Requiem, ou les Elégies de Fauré ou « La jeune fille et la mort », bien sûr tout ça est sublime.
Mais ça rend triste, si triste, ça nous rappelle nos petites misères et c’est pas bon.
Les musiques du bonheur nous font dire « quand même, je suis mieux dans ma peau que dans celle d’un animal transi, fuyant les prédateurs ou mené à l’abattoir. »
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