CRITIQUES D'HIER ET D'AUJOURD'HUI
POUR UN OUI OU POUR UN NON
de Nathalie SARRAUTE (suite et fin)
Douze ans après le succès de la création, Jacques LASSALLE donne sa vision personnelle de POUR UN OUI OU POUR UN NON et donne à H2 un caractère plus outrancier, rompant ainsi la parité initiale donnée aux deux personnages dans la version de BENMOUSSA.
Hugues QUESTER joue cet homme à la sensibilité exacerbée, face à Jean-Damien BARBIN, plus retenu.
La pièce reçoit de la presse un accueil tout aussi favorable qu’à sa création. Le même Michel COURNOT écrit à nouveau dans Le Monde :
« La pièce POUR UN OUI OU POUR UN NON est si miraculeuse qu’elle s’accommode presque de toute mise en scène. Celle de J. Lassalle est au fil du rasoir, belle et nette comme il fait souvent, du cristal dans l’air comme après la pluie. (….)
J.D. Barbin, acteur de souple finesse, nous fait bien toucher l’élégance du dehors et les noirs tréfonds de H.1.
H. Guester est poignant en H2, bien que le metteur en scène lui ait fait, si c’est lui, mettre trop l’accent sur l’aspect « gros balourd » qu’indique, juste en passant, l’auteur. »
(M. Cournot, Le Monde 15 septembre 7998.)
de Nathalie SARRAUTE (suite et fin)
Douze ans après le succès de la création, Jacques LASSALLE donne sa vision personnelle de POUR UN OUI OU POUR UN NON et donne à H2 un caractère plus outrancier, rompant ainsi la parité initiale donnée aux deux personnages dans la version de BENMOUSSA.
Hugues QUESTER joue cet homme à la sensibilité exacerbée, face à Jean-Damien BARBIN, plus retenu.
La pièce reçoit de la presse un accueil tout aussi favorable qu’à sa création. Le même Michel COURNOT écrit à nouveau dans Le Monde :
« La pièce POUR UN OUI OU POUR UN NON est si miraculeuse qu’elle s’accommode presque de toute mise en scène. Celle de J. Lassalle est au fil du rasoir, belle et nette comme il fait souvent, du cristal dans l’air comme après la pluie. (….)
J.D. Barbin, acteur de souple finesse, nous fait bien toucher l’élégance du dehors et les noirs tréfonds de H.1.
H. Guester est poignant en H2, bien que le metteur en scène lui ait fait, si c’est lui, mettre trop l’accent sur l’aspect « gros balourd » qu’indique, juste en passant, l’auteur. »
(M. Cournot, Le Monde 15 septembre 7998.)
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