CRITIQUES D'HIER ET D'AUJOURD'HUI
CHER MENTEUR, de jérôme Kilty
L'adaptation par Jean Cocteau de la correspondance amoureuse
de George Bernard Shaw avec Stella Campbell.
Cette pièce a été reprise maintes fois dans des mises en scène différentes
mais la critique que je vous livre aujourd’hui est celle de sa création à
Paris en 1960 au Théâtre de l’Athénée.
Ce fut l’événement de la saison, avec Maria Casarès et Pierre Brasseur face à face.
Poirot-Delpech :
« Asseoir sur une scène déserte un couple en tenue de récital et lui
fairrelire deux heures durant le courrier d’un amour vécu, cela semblait
d’une démente prétention. On risquait l’ennui d’une conférence ; au
mieux, l’estime fragile accordée d’ordinaire aux performances
d’acteurs. L’Athénée a gagné son pari : Cher Menteur a la beauté
tremblante et douce d’un concert. "
(Le Monde)
Un concert de louanges… Celles du féroce PD valent leur pesant d’or.
L'adaptation par Jean Cocteau de la correspondance amoureuse
de George Bernard Shaw avec Stella Campbell.
Cette pièce a été reprise maintes fois dans des mises en scène différentes
mais la critique que je vous livre aujourd’hui est celle de sa création à
Paris en 1960 au Théâtre de l’Athénée.
Ce fut l’événement de la saison, avec Maria Casarès et Pierre Brasseur face à face.
Poirot-Delpech :
« Asseoir sur une scène déserte un couple en tenue de récital et lui
fairrelire deux heures durant le courrier d’un amour vécu, cela semblait
d’une démente prétention. On risquait l’ennui d’une conférence ; au
mieux, l’estime fragile accordée d’ordinaire aux performances
d’acteurs. L’Athénée a gagné son pari : Cher Menteur a la beauté
tremblante et douce d’un concert. "
(Le Monde)
Un concert de louanges… Celles du féroce PD valent leur pesant d’or.
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