NOUVELLE VAGUE DE PROJETS
MON 2ÈME ROMAN ENTRE DANS LA DANSE
IL est sur le point d’être publié, aux Editions Le Manuscrit comme le premier, vous vous souvenez : Sa Lente Traversée du Mois d’Août ? Vous avez été nombreux à le commander, pas assez nombreux évidemment, il est loin d’avoir atteint ke score de Dan Brown mais faut pas rêver.
Ce deuxième roman s'intitule LES BALS DE DOUVRES et j’espère que sa carrière sera aussi brillante que celle du premier, et si elle est beaucoup plus brillante, ça sera parfait.
Je vous raconte en deux mots. Il s’agit des aventures d’une petite Toulousaine exilée en Angleterre pour suivre des études de lettres et qui va de surprise en surprise devant les excentricités de ce peuple anglo-saxon, à des années-lumière du nôtre ! Une autre planète ! Mais de jour en jour elle prend goût à leurs rites bizarroïdes, aux festivités et aux rencontres qui sont pour elle autant de sujets de fou-rire que de fascination.
Voilà, elle tombe amoureuse évidemment, d’un Anglais de pur souche qu’elle tente de ramener en France mais… enfin, je vais pas tout vous dévoiler.
Bon, le projet est en bonne voie, j’ai déjà signé mon contrat, mais j’attends le BAT (bon à tirer) et ça peut prendre un bout de temps avant d’arriver à la livraison en ligne et en librairie. Donc, soyez patients, comme je le suis…
Dans la vague d’actu de ce début d’année, il y a beaucoup de revenants. Serait-ce pour pallier à une certaine crise de nouveaux talents ?
GAINSBOURG for ever, et ça va bon train les commentaires, plutôt flatteurs d’ailleurs, sur la sortie du film de Joann SFAR, inconnu au bataillon, mais ce qui attise l’émoi c’est surtout l’évocation de Gainsbarre lui-même, le film certains iront le voir par dévotion pour l’artiste, les autres n’iront pas le voir pour les mêmes raisons.
Il aurait eu 80 ans cette année ! Imaginez. Sa main tremblante tenant toujours son cigare, et l’œil goguenard.
DUTRONC SE LANCE (encore un amateur de cigare. Vestige d’une société où il restait encore quelques petits plaisirs à se partager. Aujourd’hui, il reste le badminton) DUTRONC, lui, s’offre un come-back vivant, ce qui est un peu plus joyeux.
Ses fans ont fait 30 km pour aller assister à la première à Evry, il a fait un très beau prologue à sa soirée du Zénith. Bien sûr, son public a l’âge canonique, mais ça ne veut pas dire qu’il est tiède, il sait hurler sa joie et lever les bras. J’aimais bien DUTRONC, mais je crois que je ne me serais pas déplacée. Il a toujours la même dégaine (regardez sur You Tube), il brandit son cigare en entrant en scène mais il ne le fume pas, il le met dans sa poche. Lui il est plus jeune, il n’a que 67 ans. C'est un jeunot, comme Johnny.