MON FESTIVAL DE CANNES....
....C’EST AUJOURD’HUI :
FISH TANK, d’Andréa Arnold
NUIT D’IVRESSE PRINTANIERE de Lou Ye.
Je ne sais rien de rien de ces deux réalisateurs, mais nous lirons la presse. (Les films chinois sont souvent sulfureux. Qui sait ce qui se cache derrière ce titre romantique…)
En tout cas, il faut qu’ils soient remarquables pour avoir été choisis parmi les quelque 1600 copies envoyées pour lecture. Dans les années soixante ils en recevaient 700.
C’est comme pour l’édition : le nombre de prétendants à la couronne augmente chaque année. Le métier de directeur du Festival devient de plus en plus difficile. Gilles Jacob, Thierry Frémont et leurs acolytes se tapent aujourd’hui le visionnage de six à sept longs métrages par jour. Autant pour ceux qui visionnent les courts… C’est dire si les lauréats doivent avoir du coffre pour chanter plus haut que toute la basse-cour.
Côté affiches, on a l’impression qu’il s’agit d’une rétrospective ! Tarentino, Almodovar, Lars von Tries… Alain Resnais, Gaspard Noe, Michaël Hanneke, Jacques Audiard ….
Il semble que les goûts de Gilles Jacob, toujours prêt à innover, aient eu le dessous dans cette sélection qui favorise les talents confirmés.
Hier soir, c’est Charles AZNAVOUR qui a monté le premier les marches du Palais des Festival. Il prêtait sa voix au héros du film d’animation « UP » qui faisait l’ouverture.
…. C’ETAIT HIER :
Alain DELON, Romy SCHNEIDER et Sofia LOREN saisis par l’objectif d’Auguste TRAVERSO en 1962.
C’est lui, Auguste, qui créa en 1919 le petit studio de la rue de Bône, à deux pas de la rue Paradis à Cannes. Il travaillait alors sur les « clichés » et ses photos nous révèlent, tout comme celles de LARTIGUE, l’épanouissement de la Côte d’Azur dans les années 20 et 30 . Mais TRAVERSO, lui, s’est spécialisé dans l’aventure du FESTIVAL.
Demain, la suite de la saga TRAVERSO…
FISH TANK, d’Andréa Arnold
NUIT D’IVRESSE PRINTANIERE de Lou Ye.
Je ne sais rien de rien de ces deux réalisateurs, mais nous lirons la presse. (Les films chinois sont souvent sulfureux. Qui sait ce qui se cache derrière ce titre romantique…)
En tout cas, il faut qu’ils soient remarquables pour avoir été choisis parmi les quelque 1600 copies envoyées pour lecture. Dans les années soixante ils en recevaient 700.
C’est comme pour l’édition : le nombre de prétendants à la couronne augmente chaque année. Le métier de directeur du Festival devient de plus en plus difficile. Gilles Jacob, Thierry Frémont et leurs acolytes se tapent aujourd’hui le visionnage de six à sept longs métrages par jour. Autant pour ceux qui visionnent les courts… C’est dire si les lauréats doivent avoir du coffre pour chanter plus haut que toute la basse-cour.
Côté affiches, on a l’impression qu’il s’agit d’une rétrospective ! Tarentino, Almodovar, Lars von Tries… Alain Resnais, Gaspard Noe, Michaël Hanneke, Jacques Audiard ….
Il semble que les goûts de Gilles Jacob, toujours prêt à innover, aient eu le dessous dans cette sélection qui favorise les talents confirmés.
Hier soir, c’est Charles AZNAVOUR qui a monté le premier les marches du Palais des Festival. Il prêtait sa voix au héros du film d’animation « UP » qui faisait l’ouverture.
…. C’ETAIT HIER :
Alain DELON, Romy SCHNEIDER et Sofia LOREN saisis par l’objectif d’Auguste TRAVERSO en 1962.
C’est lui, Auguste, qui créa en 1919 le petit studio de la rue de Bône, à deux pas de la rue Paradis à Cannes. Il travaillait alors sur les « clichés » et ses photos nous révèlent, tout comme celles de LARTIGUE, l’épanouissement de la Côte d’Azur dans les années 20 et 30 . Mais TRAVERSO, lui, s’est spécialisé dans l’aventure du FESTIVAL.
Demain, la suite de la saga TRAVERSO…
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